8 Comments

1. 

   Merci Raphie pour ce commentaire, j’espère que garderez la patate et fuck nos cancers

2. 

   Il était là ,perdu au milieu du rayon psychologie de ma librairie, et je suis tombée dessus…comme on tombe d’une chaise…C’est con, parce que c’est grosso modo le titre que je voulais donner au livre que je voulais éventuellement écrire “My fucking Cancer et Moi”.(bon, je n’ai écrit qu’une seule page ! ). Du coup, je crois que je vais plutôt écrire un conte pour enfant parce que ça me botterait bien .Cela fait un an et j’ai l’impression d’avoir traversé la tempête sur un océan déchainé. Toutes ces étapes traversées, ces non dits, les odeurs , les couleurs de la chimie, le bruit de chaque machine, tout cela résonne encore un peu fort dans mes oreilles. La coque est abimée, je suis encore debout. Mes cheveux ont repoussé et j’ai un petit style Cristina Cordula de derrière les fagos ( sans l’accent brésilien).Février 2016 j’aurai 40 ans.Mars 2016 fin du traitement. A new day has come

3. 

   Bonjour ! Jai lu ce week-end votre livre -en version “i” c’est plus fun – en fait je devrais dire que je l’ai dévoré !… Je recommande cet ouvrage à toutes les personnes touchées, ou non, de près ou de loin, par ce fléau maléfique. Vous nous faites rentrer dans les coulisses de ce combat, avec humour, gravité, légèreté et beaucoup d’amour. D’amour pour la vie, le respect de soi, prendre soin de soi. Ma gorge sest nouée à maintes reprises, mais la page d’après détendait l’atmosphère. Je vous trouve extrêmement courageuse dans cette lutte acharnée, où le social n’existe pas. Merci à vous de nous faire partager cette “pars en thèse”, je me permets de vous embrasser, et vous dis encore MERCI. Valerie.

4. 

   Recommandé par ma gynéco lors de ma dernière visite post-contrôle (passée moi aussi par ce chemin de 2010 à 2015…), notamment pour m’aider à trouver le chemin de “l’après tamoxifène” (dans 6 mois): je suis en train de dévorer votre livre et je n’attends pas de l’avoir fini… ! Mille mercis pour ce témoignage, cet humour, ces vérités, ces coups de gueule (justifiés !)… j’avais (déjà !) oublié certains épisodes de ce chemin… Se retourner, refaire le point pour mieux repartir, merci de m’y avoir aidée, Manuela. Que le chemin soit encore long, très long pour vous aussi. Sophie

5. 

   Bonjour,
   J’ai tenté de laisser un commentaire sur l’un de vos articles mais ma tablette s’est montré récalcitrante.
   C’est une amie et collègue qui vous a entendue à la radio (je crois) qui m’a parlé de votre livre et du blog qui s’y rattachait (ou l’inverse d’ailleurs).
   J’ai commencé à le parcourir et je dois dire que cela m’a touché, d’une part, parce que je suis une femme et que le cancer du sein est un oiseau de mauvais augure qui plane sur nombreuses d’entre nous. Mais aussi, en second lieu, par rapport à votre billet sur le centre Léon Bérard que j’ai moi-même arpenté avec ma mère et ma soeur durant la fin de vie de mon père l’année dernière. J’ai d’ailleurs autopublié un livre il a quelques semaines, un témoignage sur cet évènement.
   Je ne connaissais pas la médecine narrative et cela devrait, à mon sens et lorsque la personne en est d’accord, être plus répandu.
   Merci pour votre humour. Je ne manquerais pas d’acheter votre livre qui me remémorera à coup sûr beaucoup de choses.

6. 

   Ci-dessous un courrier reçu par mail d’une lectrice qui souhaite rester anonyme
   Bon voilà c’est lu… Pas pu le poser… Rires, larmes et grande admiration!. Quand j’ai eu mon cancer a 30 ans je voulais écrire, témoigner et dire mon indignation de la façon dont on était traités dans les hôpitaux français. J’avais eu la “chance” de tomber malade alors que j’habitais à Boston mais j’ai effectué le suivi à Villejuif a mon retour en France. Je n’y suis allée qu’une seule fois et j’ai été choquée par la différence dans les rapports humains, inhumains devrais-je dire. J’ai refusé d’y retourner et faisais les aller-retour pour les scans ( ça sert à ça d’avoir les moyens). Je vois donc qu’il n’y a pas eu beaucoup de changement en…27 ans….
   Tous les jeunes médecins devraient être obligés de lire ton livre!. Dès demain je l’achète pour ma fille aînée qui avait 5 ans pendant ma maladie et qui est devenue médecin.
   J’étais alors une jeune femme avec 3 enfants en bas âge (5 ans,3 ans et 15jours), alors la vie a repris son cours et je n’ai pas témoigné…tu le fais de façon magistrale Manuela.
   Take care comme on dit et continues le combat camarade. Je t’embrasse fort.

7. 

   J’ai lu #FuckMyCancer en une matinée. C’est comme si Manuela était dans mon salon. Parfois j’ai ri avec elle, parfois j’ai senti mes yeux qui piquaient, parfois j’ai fermé un peu le livre quand on avait besoin de se reposer. Je ne connais pas Manuela IRL mais dans certaines pages je l’ai reconnue. Ce livre est un témoignage. Les témoignages Manuela et moi savons à quel point ils sont importants pour ceux qui les livrent comme pour ceux qui les reçoivent. Merci Manuela
   Pascale

8. 

   Bonjour, je viens de terminer votre livre, quelle leçon de vie ! Merci pour cette lecture, et à bientôt pour le prochain (avec des bonnes nouvelles !!!)